« TOUTES À LA UNE » est la nouvelle création d’Ester Bellver, après “protAgonise”, spectacle recommandé par la Red Nationale des tetares, qui est passé par les Salles Alternatives et également par le Centre Dramatique National, prolongé grâce à son succès. Ester nous surprend maintenant avec un nouveau spectacle dédié à son maître et ami Agustín García Calvo.
Depuis la première à Palence le 16 Juin, le spectacle s’est joué à Barcelone durant le mois de Juillet et cet Automne on peut le voir à Madrid: tous les dimanches d’octobre et de novembre à 20h Dans la Salle Triangulo de Madrid.
Depuis la solitude d’une unique présence sur scène, Ester Bellver donne voix aux nombreux personnages qui dorment encore entre les pages des livres et qui attendent qu’on les invite à danser sur la piste d’une scène de théâtre. Soi-même, celle qui n’est pas soi, les choses, les souvenirs, l’amour, le passage du temps, la mort, l’étonnement, la perte…, sont parlées sur scène à travers une sélection de textes de genres différents (poésies, scènes dramatiques, contes, ballades…) extraits de l’œuvre de Agustín García Calvo choisis et interprétés par Ester Bellver.
Dans cette mise en scène on passe de la prose à la poésie ou de la chanson et de la ballade au drame. Tout cela naît de l’amour qu’Ester Bellver porte à l’œuvre de cet auteur qu’elle admire tant avec la volonté de rendre son œuvre accessible au public. Agustín García Calvo est Prix National de Littérature Dramatique 1990, Prix National de Théâtre 1999 et Prix National de Traduction 2006. Il est l’auteur d’une énorme et riche œuvre dramatique dont seule une pièce a été jouée : La Baraja del Rey Don Pedro (Prix National de Théâtre 2000 je crois) au Théâtre La Abadía.
Illuminée par le très récompensé Juan Gómez Cornejo, cette mise en scène simple nous permet de vivre, conduits par Ester Bellver, une multitude d’aventures émouvantes.
En reprenant les mots de l’actrice elle-même : « Une seule voix peut en contenir beaucoup ; une heure de théâtre peut contenir plusieurs vies »
Vous pouvez lire les articles de presse, en cliquant dessus :
JUAN SIN CREDO
LA REPÚBLICA CULTURAL (Crítica de Julio Castro)
ARTEZ
LA GUIA DEL OCIO
REVISTA GODOT
EL DUENDE
METRÓPOLI
Et si vous voulez en savoir plus sur le spectacle, cliquez ici